Ligue 1, 11ème journée : Présentation Monaco - Paris FC
Ligue 1
(31/10/2025)

Pour la 11ème journée de Ligue 1, l'AS Monaco (2ème avec 20 points) reçoit le Paris FC (12ème avec 11 points).

Après avoir fait la bonne opération comptable mercredi en s'imposant à Nantes (3-5) et en profitant des nuls de Marseille, Lyon et Paris, et des défaites de Lille et Lens, l'AS Monaco doit enchaîner une 3ème victoire consécutive contre le promu Paris FC, en milieu de tableau, qui a remonter 3 buts à l'OL dans la dernière demi-heure.

En L1, Monaco est sur 4 matches sans défaites depuis Lorient avec 2 nuls suivis de 2 victoires.
Le Paris FC, après deux défaites initiales, a pris ses premiers points et reste, depuis une victoire face à Lorient, sur 3 matches sans victoire avec 2 défaites consécutives à Lens et contre Nantes, et un nul contre Lyon.

Au Louis-II, Monaco a remporté 4 de ses 5 matches, ne concédant le nul qu'une fois face à Nice (14 buts pour et 7 contre).
En 5 déplacements, le PFC a un bilan d'une victoire, un nul et 3 défaites (6 buts pour et 10 contre) successivement à Angers (1-0, J01), Marseille (5-2, J02), Brest (1-2, J04), Nice (1-1, J06) et Lens (2-1, J08).

L'Historique entre les deux clubs est pauvre, avec seulement deux confrontations (1 en D1 et 1 en D2) qui remontent à 50 ans, toutes terminées en Principauté par des victoires de l'ASM : 3-0 en 1973-74 en D1, 2-1 en 1976-77 en D2.

Sébastien Pocognoli est revenu sur les derniers matches et sur ses jeunes joueurs qui le surprennent.

Le Paris FC ?
Je pense que c'est une équipe qui a de grandes ambitions pour le moyen terme, qui va certainement petit à petit grandir et qui installe les fondations actuellement. C'est une équipe avec certaines qualités individuelles et aussi collectives qui souhaitent pratiquer un style de jeu propre à Red Bull. Ils essayent de se développer de semaine en semaine, on sait sur quel genre d'adversaire on va tomber. Mon speech est le même, on doit se focaliser surtout sur nous-mêmes, sur nos forces vives et essayer d'imposer notre jeu demain.

La polyvalence de Jordan Teze ?
Je pense que Jordan est notre joueur le plus polyvalent dans l'équipe, et ce système-là permet également de montrer cette qualité pour plusieurs joueurs. Il remplit beaucoup de cases, c'est un atout incroyable qu'il possède dans le football moderne.
Donc on va essayer de bien le gérer aussi, parce que comme je l'ai dit, il est multi-position. Son meilleur poste est certainement en 6, mais contre Tottenham, il a su se repositionner sur le côté, et à Nantes, il a fait une bonne entrée en tant qu'arrière-centrale-gauche, donc chapeau à lui en tout cas.

L'équilibre de son style de jeu ?
Chaque match est différent, parfois l'adversaire nous pousse à être plus défensif ou plus offensif. Nous avons abordé toutes nos rencontres de la même manière jusqu'à présent, à savoir essayer de marquer des buts. Je pense que Nantes avait vraiment des bonnes individualités, avec notamment, Matthis Abline, qui a fait un match de très haut niveau. On dépend de ça aussi et de ce que nous donnons à l'adversaire.
Face à Nantes, ce qui peut expliquer ce score est le fait qu'on ait joué positif et offensif contre une bonne équipe à qui nous avons fait certains cadeaux. Contre Toulouse (1-0), on a été beaucoup plus solides défensivement, il faut essayer de trouver le juste milieu. Dans le foot, il y a toutefois des composantes qui font qu'il peut y avoir un score qui tend plus vers un match avec des buts ou vers un clean-sheet.

Les challenges donnés aux joueurs ?
Je vous l'avais dit, lors de ma première conférence de presse, j'essaie d'avoir un plan pour chaque joueur, et dans celui-ci, il y a l'aspect tactique et technique, mais aussi mental et leadership. Chacun connaît son plan, et il évoluera peut-être en fonction des mois qui vont passer, mais pour le moment, je pense que chacun sait exactement ce que j'attends de lui. On va en tout cas essayer au maximum d'aller dans cette logique.
J'essaie de les pousser là où c'est possible d'aller, parce que sinon, il peut y avoir un sentiment de frustration. Mon rôle est d'analyser les choses qui sont logiques et possibles, et j'essaie de ne pas me tromper par rapport à ça. C'est aussi motivant parce que ça leur montre que le staff est attentif, non seulement à l'aspect collectif, mais aussi à l'individuel, qui est dépendant du collectif.

Le premier but de Mamadou Coulibaly ?
J'ai directement vu son potentiel, c'est un milieu de terrain assez hybride, qui peut à la fois venir de la deuxième ligne, distribuer le jeu, et être bon dans les petits espaces. Maintenant, il doit chercher la constance.
On l'a vu après Tottenham, il n'a pas su enchaîner correctement face à Toulouse, c'est encore un jeune joueur qui doit gérer ce rythme, et il va le faire. Il y a encore beaucoup de points d'amélioration et il le sait, mais je suis très content de sa progression depuis quinze jours. Notre prochain objectif est la consistance, et cela va pour tout jeune joueur.

Pape Cabral ?
Je pense que Pape est un des joueurs qui m'a le plus séduit depuis que je suis arrivé, de par son attitude et sa concentration à l'entraînement. Il est déjà très mature pour son jeune âge, a la tête sur les épaules et est assez complet dans son rôle de contrôleur. C'est ce qui nous a peut-être d'ailleurs un peu perturbé à Nantes, car il a aussi pris l'initiative de monter lors des dernières 15 minutes, alors qu'on aurait espéré qu'il reste plus dans ce rôle.
Mais ça lui a aussi permis de se créer deux occasions sur ces deux derniers matches, et il aurait pu marquer son premier but professionnel ! S'il continue comme ça, il sera le prochain de notre centre de formation à pouvoir se faire une place dans le milieu de terrain.

La montée en puissance de Kassoum Ouattara ?
Je pense qu'il y a le facteur confiance aussi. Comme je l'ai dit dans la dernière conférence de presse, on avait des besoins par rapport à cette position et Kassoum a répondu présent. Il a fait un match encourageant à Angers où il aurait pu faire aussi une passe décisive, un bon match contre Tottenham et il aurait pu aussi être décisif contre Toulouse où il a failli marquer. Je pense qu'il a conscience de ses qualités, de ce qu'il sait faire et ne sait pas faire, c'est aussi une grande qualité chez lui, et il utilise très bien son pied gauche.

La deuxième place du classement ?
On essaie d'être le plus ambitieux possible, le classement est tellement serré, que d'une semaine à l'autre, on peut être dans la lumière. Il y a deux semaines, c'était Marseille, maintenant c'est nous. Si nous sommes constants, nous resterons à cette position, et si nous ne le sommes pas, ce sera une autre équipe. On en a bien conscience et j'espère qu'on restera dans le top 3 ce week-end. C'est notre objectif !

La différence avec le championnat belge ?
Ici, il n'y a pas de play-off. En Belgique, tu joues le week-end pour un point et demi car tu as un deuxième championnat à la fin de l'année, où des équipes peuvent être en mode diesel, pour finalement pousser vers la fin. En France ce n'est pas le cas, chaque match compte pour trois points, et le fait que tout le monde se tienne est très positif.
Je m'attends à ce que, vers le mois de décembre, on commence à voir les équipes se démarquer. C'est donc à nous d'être dans le bon wagon, de se serrer les coudes jusqu'à la trêve de novembre, pour j'espère, entamer cette dernière partie avec le plus de points.

Paul Pogba ?
J'essaie de relativiser et d'essayer de le tirer vers le positif, parce que ça fait tellement longtemps qu'il attend ce retour. Bien sûr qu'il a envie de rejouer, il était prêt, mais on est peut-être dans une échéance un petit peu retardée. L'objectif était qu'il soit disponible sous encore un meilleur angle après la trêve internationale, et j'espère que l'on restera encore dans ce schéma-là. Malheureusement on est tous déçus, mais on a un match à jouer demain.
Si je dois résumer, il est dans un bon club, avec une bonne infrastructure, avec des gens qui croient en lui et qui travaillent quotidiennement pour lui permettre de refouler la pelouse. Il a un entourage qui va dans le même sens et je pense qu'il a beaucoup d'amour en France. Donc il ne faut pas aller voir plus loin, il faut être patient. Et comme je dis, il faut attendre le verdict qui, je pense et je l'espère, ne sera pas trop conséquent.

Sébastien Pocognoli - Site officiel AS Monaco
Au milieu du terrain, avec les nombreuses blessures, Gary Coulibaly engrange les minutes et a inscrit son premier but avec les pros mercredi à Nantes.

Sa bonne période individuelle ?
Je suis content de ma bonne période et je vis le moment présent. Je ne pense pas trop à ce qui se passe autour, j'essaye juste de profiter et de prendre du plaisir parce que je reviens de loin avec ma blessure au genou. Je ne suis toutefois pas trop surpris parce je travaille beaucoup depuis plusieurs années, c'est dans la continuité et un juste retour des choses.
Je l'ai suffisamment montré au quotidien pour que le coach puisse se permettre aujourd'hui de me mettre sur le terrain. Je n'ai peur de rien, c'est une qualité et aussi un défaut, mais je l'utilise plutôt bien à l'heure actuelle.

Son but face à Nantes ?
Nantes est une équipe spéciale pour moi. Je me suis blessé contre eux, j'ai fait mon retour face à eux et je viens désormais de marquer mon premier but en pro'. Un peu comme pour mon match face à Manchester City, je n'ai pas vraiment ressenti d'émotions sur le moment. J'étais davantage focalisé sur l'équipe et la victoire à aller chercher.
C'est surtout en visualisant le match et en revoyant certaines actions que j'ai compris qu'un de mes objectifs avait été atteint et qu'il fallait continuer ainsi. La plupart des personnes de ma génération au centre de formation m'ont en tout cas envoyé un message pour me féliciter.

Sa prestation face à Toulouse ?
Cette rencontre face au TFC fait partie de ma progression et de mon apprentissage car c'est la première fois dans ma carrière que je suis amené à jouer autant de matches en si peu de jours. Je suis encore un jeune joueur, j'apprends et j'acquiers de l'expérience auprès du staff et des joueurs.

Le forfait de Paul Pogba ?
Cela nous fait mal parce qu'il fait pleinement partie de l'effectif. Nous sommes donc forcément déçus quand un joueur se blesse, tout le monde est allé le réconforter car nous sommes une famille. Il faut toutefois rester concentrés sur ce que l'on doit faire, avec ou sans lui. Nous sommes tous avec Paul et on espère qu'il reviendra bientôt.
Un rôle de grand frère avec les jeunes ? Nous avons une bonne relation parce que c'est une personne avec qui j'ai beaucoup parlé. Quand j'ai commencé à jouer, il m'a conseillé sur le football, la vie en dehors et sur la manière d'aborder les choses. C'est vraiment un grand frère et nous sommes contents de l'avoir parmi nous. Il revient d'une longue phase d'arrêt mais il fait encore des choses exceptionnelles.

Son intégration dans l'équipe ?
Cela fait plus d'un an et demi que j'ai intégré l'effectif professionnel. Au départ, c'était plutôt une phase d'apprentissage avant de me blesser. Cette saison, j'ai voulu avoir de la détermination et l'envie de pouvoir montrer mes qualités afin de prouver que je pouvais avoir ma place dans l'équipe, tout en prenant le maximum de minutes.
Ma marge de progression ? Il me reste encore de nombreuses choses à accomplir. À l'instant T, il faut que j'ai davantage de constance et de la régularité sur l'ensemble d'un match.

Les consignes du coach ?
C'est assez simple. Je suis un jeune joueur, il m'a dit de prendre le maximum de minutes et de prendre du plaisir lorsque j'en ai, tout en étant constant. Le coach n'est pas encore allé très loin dans ses propos parce qu'il vient d'arriver, on n'a pas eu vraiment le temps d'avoir des explications un peu plus profondes. Mais de ce qu'il ressort majoritairement est qu'il veut voir de la régularité.

Les aspects où il l'a fait progresser ?
Je dirais majoritairement sur l'aspect tactique. Il m'a par exemple fait progresser sur certains mouvements et déplacements, qui me permettent à la fois de défendre sans faire une course de 40 mètres et de me projeter au moment où j'ai le ballon. Mon physique fait également partie de mes forces. Lorsque je rentre sur le terrain, j'essaie de jouer dessus afin de déstabiliser l'adversaire.

L'investissement du staff à l'entraînement ?
Cela nous génère beaucoup d'émotions parce que cela permet de nous dire que nous ne sommes pas seuls à effectuer ce travail. Nous sommes entourés de plusieurs personnes au quotidien qui nous permettent d'être professionnels. Le fait de voir ces anciens joueurs professionnels réaliser ces exercices nous donne du plaisir et nous permet d'apprendre plus vite.

Son duo complémentaire avec Jordan Teze ?
Nous avons également une bonne relation en dehors du terrain, c'est une personne que j'apprécie beaucoup. Nous sommes amenés à nous voir au quotidien sur et en dehors des terrains. On discute, on s'explique et même si on peut avoir des incompréhensions, cela reste une personne que j'apprécie. C'est pour ça que la communication est assez fluide et se passe bien. Parfois, on se taquine en disant que nous n'étions pas attendus à jouer ensemble en début de saison. Aujourd'hui, c'est le cas et c'est à nous de faire le travail.

Le Paris FC ?
C'est une équipe promue à prendre très au sérieux, comme toutes les équipes du championnat. Il faudra redoubler d'efforts parce que nous sommes sur une période positive, il faut donc continuer sur ce qu'on fait et ne pas se relâcher.

Gary Coulibaly - Site officiel AS Monaco
Sébastien Pocognoli doit se passer des blessés Camara, Dier, Hrádecký, Vanderson, Zakaria rejoints par Christian Mawissa, touché aux ischios à Nantes et qui va devoir patienter un mois avant de retrouver les terrains.
Pogba aurait dû être de retour dans le groupe, mais il a reçu un coup à la cheville jeudi à l'entraînement et est forfait.
Caio est lui de retour dans le groupe de 21 joueurs de l'ASM, Brunner et Bamba ont été écartés.

Pour le Paris FC, Stéphane Gilli est d'abord revenu sur le match contre Lyon, où son équipe a remonté 3 buts, et est aussi revenu sur le manque de concentration de son équipe.

Avec le recul, quels enseignements tirez-vous du nul face à Lyon (3-3) ?
À chaud, j'étais mitigé. Je le suis toujours. Il y a eu de très bonnes choses. Le fait de revenir à 3-3 contre Lyon tout de même, ce n'est pas rien. En revoyant le match, je pense que sur les dix dernières minutes de la première période, l'équipe s'est reprise. Dès l'entame de la deuxième période, on a mis plus d'intensité. On a été mieux dans nos positions. On a mis plus de verticalité, de projection, même si on prend ses buts. Sur cet aspect-là, j'étais très content, très positif et j'ai félicité mes joueurs.

Avez-vous analysé les trois buts encaissés ?
Ce sont les points négatifs par rapport à ce qu'on avait travaillé, par rapport à leurs projections, leurs transitions. On savait qu'ils faisaient cela très bien. On a payé cash nos erreurs de placement. Ce qui m'a dérangé, et c'est pour ça que je suis mitigé, c'est quand je vois ce qu'on est capables de faire dans une partie du match. Il faut qu'on soit capables de la faire dès l'entame. On a été fébriles et on a manqué un peu d'assurance. J'étais un peu déçu, parce que j'ai l'impression qu'on n'a pas osé, qu'on a un peu trop respecté cet adversaire.

Paradoxalement, vous prenez trois buts dans un match où vous avez peu subi. Quel discours faut-il avoir pour ne pas répéter les erreurs ?
Ce qui manque, c'est la constance dans un match. Je le dis depuis le début. Sur le premier but de Lyon, c'est juste de la concentration et de la rigueur. Ce n'est pas un problème tactique. Sur le troisième, c'est pareil, c'est un placement. Si le joueur concerné est à l'intérieur au lieu d'être à l'extérieur, il n'y a pas de situation. Et là, on parle de deux mètres.

Les transitions adverses sont aussi un point clé, non ?
Contre Nantes (1-2), on a pris huit transitions après avoir perdu le ballon dans les 18 mètres adverses et cela finit par un tir. Cela veut dire que l'adversaire a fait 80 mètres. Cela peut arriver une fois, deux fois, mais huit fois. Donc c'est encore un problème de concentration, de défense préventive. Moi, je leur dis aussi d'anticiper le temps d'après.
Qu'est-ce qui peut se passer ? Où est-ce que le ballon peut aller ? Où est l'adversaire ? Je sais que ce n'est pas toujours facile. Quand on est dans nos temps forts, où on commence à avoir une maîtrise, avec un peu de confiance, on a peut-être tendance à vouloir trop jouer.

C'est aussi comme cela que vous revenez au score contre Lyon ?
Ce que j'ai aimé, en revanche, sur cette deuxième période, c'est qu'on n'a pas attendu la position idéale. Et on voit que les trois buts, c'est sur des centres, une présence sur les deuxièmes ballons. Et le but de Vincent Marchetti est symptomatique. Il n'est pas sur son bon pied, il y a du monde devant lui, mais il frappe. Il a de la réussite avec ce ballon contré mais pour avoir de la réussite, il faut la provoquer.

La concentration sera donc un point crucial face à Monaco, qui est l'une des meilleures attaques de Ligue 1 ?
Cela va être un bon test. Monaco attaque à la profondeur avec des joueurs comme Balogun, et est capable de répéter 3, 4 fois les mêmes appels et sur le quatrième, le joueur est servi. Alors, oui, la concentration, la rigueur et l'analyse seront primordiales mais aussi la communication. Parce que de temps en temps, il faut se parler pour éviter de faire des grandes courses. Il va falloir être bons sous pression. Si on arrive à éliminer cette première ligne de pression, il y a des choses à faire. Comme vous l'avez dit, sur l'aspect offensif, c'est une équipe avec énormément de qualités et qui performe. Ça risque d'être un match ouvert.

Stéphane Gilli - Site L'Équipe.fr
Face à l'ASM, le coach parisien doit se passer du suspendu De Smet, des blessés Traoré, Ikoné et Sangui, et a écarté Riou, Alakouch et Gueye.
J. Lopez, Cafaro et Hamel sont dans le groupe élargi à 22 joueurs, où figure également Willem Geubbels.

Présentation des équipes

Les faces à faces entre Monaco et Paris FC

Le classement :

2ème avec 20 points 12ème avec 11 points

La forme du moment (5 derniers matches) :

2 victoires, 2 nuls et 1 défaite.
10 buts marqués et 9 buts encaissés.
1 victoire, 2 nuls et 2 défaites.
8 buts marqués et 8 buts encaissés.

Les absents :

Bamba (choix), Brunner (choix), Camara (blessé - cheville), Dier (blessé - ischios), Hrádecký (reprise - genou), Mawissa (blessé - ischios), Pogba (blessé - cheville), Vanderson (blessé - ischios), Zakaria (blessé - adducteurs) Alakouch (choix), Gueye (choix), Ikoné (blessé), Riou (choix), Sangui (blessé), Traoré (blessé).

Les suspendus :

De Smet.

Les groupes retenus :

Köhn, Liénard, Stawiecki, Caio, Diatta, Kehrer, Kiwa, Ouattara, Salisu, Teze, Akliouche, Cabral, Coulibaly, Golovin, Idumbo, Minamino, Balogun, Biereth, Fati, Ilenikhena, Michal. Nkambadio, Trapp, Kolodziejczak, Mbow, Otávio, Chergui, Ollila, Prouchet, M. Lopez, Lees-Melou, Marchetti, Camara, Doucet, Kebbal, J. Lopez, Gory, Cafaro, Simon, Geubbels, Krasso, Dicko, Hamel.
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